Culture partenariale et synodalité au coeur d’une Église peuple de Dieu[1]

Gaetane GuillemetteParler de partenariat dans l’Église de La Pocatière n’est pas chose nouvelle. En 1999, à la demande de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec, le diocèse se dotait d’un comité du partenariat hommes-femmes en Église. Formation et action se sont conjuguées dans un parcours qui, d’année en année, a su produire des fruits intéressants[2] .


Dans le cadre de cette journée de formation diocésaine, nous voici rassemblés, prêtres, agents, agentes de pastorale, diacres et leurs épouses, pour poursuivre notre réflexion sur la culture partenariale et la synodalité *au cœur d’une Église Peuple de Dieu en partant de l’orientation diocésaine Faire Église aujourd’hui !

Nous avons pensé illustrer la démarche de cette journée en prenant l’image de la culture de notre jardin….  Faire un beau jardin demande de connaître et de s’entendre pour choisir les graines de semence désirées, les soins à donner, le partage du travail, etc. Aussi, est-il important, si nous voulons développer une culture partenariale en Église, de savoir quel genre de graine on a entre les mains ? D’où elle vient ? Quelles sont ses caractéristiques ?

Cette graine du partenariat vient, d’une part, d’un besoin social et de l’évolution d’une manière de travailler ensemble pour obtenir un maximum de résultats dans un projet commun. D’autre part, cette graine peut très bien s’adapter dans la terre ecclésiale, puisqu’elle trouve sa source dans l’enseignement de Vatican II. La caractéristique de cette graine en Église est celle d’une culture partenariale au cœur de la synodalité; une graine dont le noyau origine de la vision de l’Église Peuple de Dieu que nous a laissée Vatican II.

C’est la caractéristique de cette semence que nous allons développer afin de nous aider à faire un pas dans le sens des relations que nous avons à vivre dans nos milieux pastoraux. Pour cela, il nous faut savoir d’où on part et où on va quand on parle de partenariat en Église. Ici, je ne prétends pas vous apporter du neuf. Je désire seulement entrer plus avant, avec vous, dans la compréhension et l’apprentissage d’une manière de faire Église « Corps du Christ ».

Ceci étant dit, nous allons nous arrêter à d’où on part, en parlant de culture partenariale. Cet après-midi, nous verrons où nous voulons aller dans le concret de nos milieux pastoraux. Nous ferons un exercice qui nous amènera à examiner comment nous vivons et comment nous souhaitons vivre nos relations partenariales. Pour le moment, attardons-nous sur cette semence que nous avons entre les mains et la terre dans laquelle elle sera déposée.

UNE SEMENCE…  DANS UNE TERRE EN CHANGEMENT

Une semence…  dans une terre en changement… deux aspects à tenir ensemble; une semence qu’il faut connaître ainsi que la terre dans laquelle sera jetée la semence. Ensuite, vient le travail à faire. Mais avez-vous remarqué que souvent nous avons tendance à commencer par la fin en nous mettant au travail sans suffisamment nous préoccuper de la terre qui est là et de la semence que nous utilisons?…  Il en résulte que, malgré nos efforts d’ensemencement, nous sommes encore à apprendre à vivre des relations que nous voulons synodales et partenariales. Le quotidien de nos rapports entre nous et avec les membres de la communauté chrétienne laisse percevoir des avancées mais aussi des échecs et des souffrances…

Ce constat nous rappelle que nous avons besoin de retourner au cœur de ce qui fait notre être ensemble dans la terre ecclésiale actuelle, pour apprendre à semer autrement et patiemment, comme nous l’enseigne Qohéleth (11,6), « matin après matin, sans laisser de repos à notre main ». Aussi, cette action de semer se vit-elle dans des conditions de changements constants : une société en transformation, une Église en mutation, des champs d’action pastorale en mouvement, diminution des effectifs et des moyens financiers, baisse de nos capacités physiques, etc. Nous sommes de moins en moins autosuffisants. Nous sommes obligés de considérer d’autres acteurs dans la marche de l’institution ecclésiale. Mais en même temps, c’est ça, la Bonne nouvelle du salut pour notre Église !

Dans les faits, on le sait, la réalité n’est pas simple. La transition est pénible et se traduit par des peurs, des tensions, des résistances, des conflits et la difficulté de relations adéquates et matures. Cela demande beaucoup de lucidité et, il faut bien le dire, le poids affectif qui s’y vit (et qu’on évite souvent de considérer) interfère beaucoup dans notre capacité de fonctionner dans un esprit de synodalité et d’apprentissage d’une culture partenariale.  

Par ailleurs, soutenus par la foi et l’espérance en Jésus, qui nous assure de sa présence, nous continuons d’avancer dans ce mouvement de conversion en reconnaissant nos limites personnelles et collectives et en acceptant de nous remettre en route et de jeter la semence en nous et là, où nous oeuvrons. Une semence appelée à se transformer pour faire apparaître le fruit d’une nouvelle manière d’être, de penser, d’agir et de gouverner en Église, autrement dit, d’une nouvelle culture partenariale qui s’arrime avec notre monde d’aujourd’hui.

Ce mouvement de conversion ne se vit toutefois pas en un jour ! Il est à l’image des 40 ans de marche au désert. 40 ans, temps obligé pour laisser nos oignons d’Égypte, apprendre à fonctionner autrement et changer nos mentalités. Nous resituer dans notre être et dans notre agir pastoral s’avère un lieu obligatoire qui exige du temps : un temps de passage où s’instaure graduellement l’Église Peuple de Dieu de Vatican II.

UNE ÉGLISE PEUPLE DE DIEU AGISSANT EN SYNODALITÉ DANS DES RELATIONS PARTENARIALES

La semence est celle d’une Église Peuple de Dieu agissant en synodalité dans des relations partenariales. Une semence porteuse du fruit d’une culture partenariale en Église. Une semence destinée à la mission : mission de Faire Église aujourd’hui dans notre diocèse de La Pocatière.

Le cœur de cette semence, c’est la vision de l’Église Peuple de Dieu de Vatican II. Ici, je ne développerai pas l’enseignement de Lumen gentium à ce sujet, mais j’indiquerai seulement un aspect ou l’autre qui marque la dimension relationnelle de cette vision de l’Église Peuple de Dieu[3] .

UNE ÉGLISE PEUPLE DE DIEU, CORPS DU CHRIST, TEMPLE DE L’ESPRIT

L’Église Peuple de Dieu, Corps du Christ et Temple de l’Esprit (PO[4] 1) se fonde sur le mystère de la communion et de la communauté trinitaire[5]. Communauté dont les trois personnes divines constituent le modèle relationnel par excellence. Le Père, le Fils et l’Esprit vivant une relation d’interdépendance au sein duquel l’un ne peut exister sans l’autre. Une relation qui les définit et les fait exister comme personne. Une relation personnalisée par l’Esprit qui instaure la juste distance nécessaire entre les personnes divines[6] .

UNE ÉGLISE PEUPLE DE DIEU, COMMUNION ET COMMUNAUTÉ DE SŒURS ET DE FRÈRES EN JÉSUS CHRIST

Cette dimension relationnelle trinitaire établit l’assise de la vision de l’Église Peuple de Dieu. Une Église communion et communauté de sœurs et de frères égaux en Jésus Christ. Une communauté de personnes baptisées, consacrées, appelées à suivre le Christ, partageant une même vocation à la sainteté (LG 32, 40), envoyées pour porter la Bonne nouvelle de Jésus Christ (AG 5) et devant s’entraider mutuellement, selon la diversité des dons (LG 32), des états de vie et des ministères, en solidarité avec les plus démunis.

Cette assise de la vision de l’Église Peuple de Dieu laisse présager le chemin de conversion qu’il nous reste à réaliser. Nous avons encore beaucoup de défrichage et de renchaussage à faire…. pour nous convertir. Et pourtant cette assise a besoin de devenir effective dans le temps et au quotidien de notre terre diocésaine. Il s’agit d’édifier une communauté de sœurs et de frères, partenaires dans la mission; une communauté capable de mettre en œuvre les dons et les charismes de chacun dans des ministères, des rôles et des fonctions variés au service de la mission.

UNE ÉGLISE « COMMUNION » AGISSANT EN SYNODALITÉ

Cette Église Peuple de Dieu, communauté de sœurs et de frères, partenaires de la mission, est « communion ». Elle est projet de Dieu qui se construit au cœur de l’humanité et de son histoire[7] . Projet à l’intérieur duquel s’est développé, dès les premiers siècles, un agir et une pratique synodale avec la première assemblé synodale et délibérante des Actes 15, 5-30, où la participation des fidèles était clairement admise[8] .

Une Église dans laquelle la synodalité se définit dans le sens de faire route ensemble dans la communion et la responsabilité partagée

Une synodalité qui se fonde sur le fait que, par la création et le baptême, nous sommes des partenaires en humanité et en Église, c’est-à-dire coresponsables ensemble de la vie et de la mission de l’Église.

Une synodalité qui se rapporte à un type de relation particulière en Église appelé à se vivre dans la communion d’interrelation et d’interdépendance dans l’exercice des fonctions et des rôles. Et pour être approprié à une synodalité authentique, ce genre relation doit s’exercer à travers des relations partenariales.

Agir de manière synodale, c’est donc agir dans un esprit de collégialité, de participation et de coresponsabilité; c’est faire appel à la collaboration de tous les membres de la communauté : hommes et femmes[9] .

C’est mettre en œuvre la participation de tous et de toutes à travers un processus de concertation, d’échange et de recherche de consensus, ainsi que la participation active aux délibérations et aux décisions.

C’est favoriser la responsabilité partagée dans un projet commun, c’est aussi former à la gestion participative, à la prise en charge des affaires et du gouvernement de l’Église locale selon la diversité des charismes et des fonctions.

DES RELATIONS PARTENARIALES AU CŒUR DE LA SYNODALITÉ

Cet agir synodal se réalise dans la mesure où nous entrons en relation entre nous en tant que partenaires. Car la relation partenariale est au cœur d’une synodalité authentique. Mettre en pratique la relation partenariale, c’est réaliser la synodalité dans les faits et dans les gestes.

À partir du fondement ecclésiologique de Vatican II d’une Église Peuple de Dieu porteuse d’une tradition synodale qui découle de sa nature en tant que réalité de communion, cette Église, communauté de sœurs et de frères est appelée à porter ensemble la charge de la mission et des affaires de l’Église selon la diversité des dons (LG 32), des états de vie et des ministères, dans l’entraide mutuelle et la solidarité avec les plus démunis.
 
Par conséquent, il est du devoir et de la responsabilité des personnes baptisées de prendre une part active au service de la vie et de la communion entre les membres de la communauté.
Ensemble nous sommes responsables du type d’Église que nous voulons avoir.
Ensemble nous sommes responsables de ce que l’Église fait ou ne fait pas dans ce monde.
Ensemble nous sommes responsables de la misère de nos communautés et de son renouvellement. C’est une exigence évangélique!

DES RELATIONS PARTENARIALES : UNE EXIGENCE ÉVANGÉLIQUE

Cette responsabilité demande à se traduire dans des relations partenariales au cœur de l’Eucharistie qui bâtit l’Église et la communauté. Et le modèle relationnel qui nous est donné est celui du lavement des pieds (Jn 13,1-20).

Jésus prend la position de serviteur avant d’instituer l’Eucharistie. Le lavement des pieds était un très grand service. Mais il se passe quelque chose. Pierre, le chef des douze, n’accepte pas de se faire laver les pieds par Jésus. Pierre est dans la position des gens des organisations, c’est-à-dire qu’un maître, un patron ne peut pas et ne doit pas laver les pieds de ses serviteurs. C’est lui Pierre qui doit laver les pieds de son maître. Dans le geste que Jésus pose, il ne nie pas qui il est. Jésus sait qui il est. C’est pourquoi il est capable de se situer en vérité face à Pierre en lui disant : « si je ne te lave pas les pieds, tu ne pourras pas avoir part avec moi » (Jn 13,8).

Jésus rétablit ainsi le rapport d’égalité au service les uns des autres. Jésus tranche dans les organisations profanes : on n’est pas, en Église, au service du patron. On est une communauté de communion de sœurs et de frères égaux en Jésus Christ, appelés à le suivre, partageant avec lui, sa vie et sa mission, et devant s’entraider et se laver les pieds mutuellement dans le service de la mission.

Le lavement des pieds suppose donc que j’accepte l’autre, que celui-ci puisse m’influencer, me rendre service. Le lavement des pieds implique deux personnes matures, qui ont une individualité réelle, qui sont responsables de leur relation, capables d’écoute, de respect, de confrontation, de négociation, de discernement, d’entente claire et de prise de décision à partir de critères et de valeurs communes. C’est là que des relations partenariales peuvent s’instaurer.

Et même si on parle facilement de partenariat depuis quelques années, notre agir n’est pas nécessairement accordé à l’idéologie que l’on proclame. Ce n’est pas parce qu’on invite à la participation, que l’on consulte et que l’on travaille en équipe que nous avons un agir partenarial et que nous vivons des relations partenariales.

OSER UNE CULTURE PARTENARIALE EN ÉGLISE

Oser une culture partenariale en Église, c’est un grand défi! Car lorsqu’on parle de culture, on dit une manière d’être, de penser et d’agir qui est profondément intériorisée dans une collectivité, une Église, un milieu. Ce sont nous oignons d’Égypte que nous mangeons depuis des décennies et quelques siècles. Comme il a fallu aux Hébreux la fermeture de la Mer Rouge sur elle-même ainsi qu’un long passage de 40 ans pour qu’ils oublient leurs oignons d’Égypte, ne pensons pas pouvoir intégrer une nouvelle manière d’être, de penser, d’agir et de gouverner en Église sans passer par ce long chemin de conversion.

Donc, semer une culture partenariale en Église suppose un retournement, une conversion des mentalités. Cela exige beaucoup de temps, de lucidité, de patience, de dépouillement, d’humilité, d’apprentissage et de discernement. Ce travail d’ensemencement, de préparation de notre terre personnelle et ecclésiale, demande de la persévérance, et comme le dit si bien Gilles Routhier

… vingt fois sur le métier, il faut remettre son travail. Ce n’est pas l’affaire d’un jour, ni même d’une semaine. Il faut plus d’une fois retourner les sillions, semer patiemment et avec espérance. La récolte, d’autres l’engrangeront peut-être. Une chose est certaine, nous ne pouvons pas abandonner[10] .

ET LE PARTENARIAT…

On sait que le partenariat naît d’une nécessité, d’un besoin de survie, d’une urgence sociale, ecclésiale, etc. Dans une Église qui a longtemps été suffisante en nombre, en avoir et en monopole social, aller dans le sens d’un partenariat et d’une culture partenariale, c’est prendre un tournant dans lequel nous devons expérimenter un autre mode de penser, d’agir et de gouverner. Un tournant qui nous demande d’entrer dans le passage du désert, c’est-à-dire dans un processus où nous avons à apprendre à marcher ensemble, acceptant de trébucher, de se relever, de regimber, de se faire des veaux d’or… et continuer la route jusqu’à la terre promise.

Vouloir instaurer une culture partenariale dans notre diocèse, c’est vouloir, au point de départ, favoriser l’humanisation et enraciner notre désir dans l’amour de nos sœurs et de nos frères.

Ensuite, c’est partir d’un projet commun, décidé ensemble dans un cadre de relations d’égalité des partenaires, de participation de chacun à la prise de décision et d’entente mutuelle sur type de collaboration réclamé de l’un et de l’autre.

Un projet qui suppose reconnaissance et engagement explicite de deux entités distinctes, qui nécessite des rapports d’interdépendance, de solidarité dans l’action et une délégation des pouvoirs. Un projet dans lequel les partenaires apprennent à « faire corps » pour la mission en se situant comme un corps apprenant et un corps discernant[11].

FAIRE ÉGLISE AUJOURD’HUI : ORIENTATION DIOCÉSAINE

Comment un tel projet de partenariat peut-il se concrétiser, si ce n’est à partir du vécu de nos communautés chrétiennes et de l’orientation diocésaine Faire Église aujourd’hui! S’inspirant du modèle d’une Église Peuple de Dieu, une Église communion où l’on rappelle la nécessité de « se regrouper pour agir ensemble de façon fraternelle », la mission de ce projet diocésain « consiste à faire connaître la personne du Christ et son enseignement; à favoriser la vie fraternelle dans la charité, l’entraide et le partage; assurer le culte à Dieu et la prière commune[12]. » 

Le document souligne que les personnes, de par leur baptême, sont appelées à prendre une part active à la vie et à la communion entre les membres de la communauté. Parmi elles, certaines sont invitées à prendre des responsabilités particulières dans une organisation pastorale qui a voulu se donner une structure et une façon synodale de faire pouvant faciliter l’accomplissement de la mission. On parle de partenariat, de participation, de coresponsabilité, de concertation, d’interdépendance[13] , etc. Il nous reste maintenant à actualiser cette façon de faire synodale dans le terrain concret de l’apprentissage de relations partenariales…

CONCLUSION

Une culture partenariale en Église signifie une façon d’être et d’agir qui annonce Jésus Christ dans un monde en mutation.

Une culture partenariale en Église nécessite un lieu d’apprentissage et de témoignage d’une Église Peuple de Dieu, communauté de sœurs et de frères, partenaires dans la mission, s’entraidant mutuellement, selon la diversité des dons, des états de vie et des ministères (LG 32).

Une culture partenariale en Église s’exprime dans une communauté apprenante, où l’on expérimente une nouvelle manière de penser, de travailler et de gouverner au cœur d’un agir synodal dans des relations partenariales.

Une culture partenariale en Église se vit à l’intérieur d’une communauté discernante, à l’écoute des uns et des autres et de l’Esprit, capable de
– relire ses façons d’être, de penser et d’agir,
– se remettre en question, se laisser interpeller, se resituer,
– se donner les moyens de cheminer ensemble et de nourrir le feu par la
  pratique d’un parler-ensemble qui prend corps dans un marcher-ensemble[14] .

Gaétane Guillemette
La Pocatière, 29 mai 2009

Le 29 mai 2009, avait lieu à La Pocatière, une journée de formation diocésaine organisée par le comité du partenariat hommes-femmes en Église du diocèse de Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Cette session fut animée par une équipe composée de  Louise Alain,  Ginette Jetté,  Jean-Yves Fortin, Rosanne Dionne et Gilles Lévesque. Gaétane Guillemette a agi comme personne-ressource lors de cette journée.  Mgr Yvon-Joseph Moreau, évêque du diocèse a fait parti du groupe de réflexion pour la préparation de cette journée et il a participé à l’animation avec l’équipe.


NOTES 
* Nous tenons à remercier monsieur Denis Viel de sa collaboration dans la réflexion sur « synodalité et culture partenariale ».
[1] Intervention de Gaétane Guillemette, donnée à La Poctière le 29 mai 2009, lors d’une journée de formation diocésaine organisée par le comité du partenariat hommes-femmes en Église du diocèse de Sainte-Anne-de-la-Pocatière.
[2] Parmi ces fruits, notons l’écrit de Jacques Otis, Partenariat et synodalité : deux conditions essentielles à une ecclésiologie de communion, présenté aux agentes de pastorale en mai 2004 et L’Église, c’est nous !, document diocésain daté du 25 septembre 2004.
[3] Lire les articles sur la culture partenariale en Église dans Cahiers de spiritualité ignatienne : Vers une culture partenariale en Église, no 117, Centre de spiritualité Manrèse, Québec, septembre-décembre 2006.
[4] Presbyterorum ordinis : Le ministère des prêtres (PO)
[5] Jacques Otis, Partenariat et synodalité : deux conditions essentielles à une ecclésiologie de communion, texte pour les agentes de pastorale du diocèse de Sainte-Anne-de-la-Pocatière, 7 mai 2004, p. 3.
[6] Voir le texte d’Alice Gombault, « Une théologie du partenariat », dans Cahiers de spiritualité ignatienne, no 117, p. 40-43.
[7] Vers l’exercice de la synodalité, Comité de théologie de l’AÉQ, Québec, Fides, 2000, p. 10.
[8] Ibid., p. 11.
[9] Ibid., p. 11.
[10] Note d’une conférence de Gilles Routhier, sans date.
[11] Voir l’article de Christian Grondin, « Le discernement spirituel : moteur d’une culture partenariale », dans Cahiers de spiritualité ignatienne, no 117, p. 103-116.
[12] Faire Église aujourd’hui ! Participer à l’activité pastorale en paroisse, Service diocésain de la pastorale, Diocèse de Sainte-Anne-de-la Pocatière, 2008, p. 2.
[13] Ibid., p. 6.
[14] Christian Grondin, op.cit. p. 105.

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