Marie de Magdala, une figure instauratrice

Charlotte Plante

De toutes les figures évangéliques féminines, celle de Marie de Magdala me paraît valoir occuper une place dans ce numéro des Cahiers de spiritualité ignatienne consacré aux réformatrices. Non pas qu’elle se qualifie, à proprement parler, comme telle, mais sous l’aspect connotatif d’une instauratrice. Je la présente d’une part à la fois comme « inaugurale » de l’annonce de Jésus ressuscité qui, selon le récit johannique, lui est apparu, à elle, la première. Et d’autre part comme une figure « mémorielle » à interpréter, encore et toujours, de sorte que la parole de l’annonce soit conservée et amenée à une expression nouvelle dans les communautés de disciples, aujourd’hui notamment.

Je m’attarderai, d’abord, au récit de la visite de Marie de Magdala au tombeau (Jean 20, 1-18) et dégagerai les conditions de l’avènement de la porteuse de la « bonne nouvelle ». L’enjeu sera alors de mieux cerner la manière, la source et la visée du « dire » l’annonce. Dans un deuxième temps, j’évoquerai quelques échos de ce récit johannique retentissant actuellement : certaines façons créatrices de penser et de faire l’annonce de Jésus vivant dans la culture contemporaine, à tout le moins, dans les communautés occidentales d’Amérique du nord et d’Europe. Une question ne manquera pas de surgir, encore prisonnière d’un tombeau fermé que la vie cherche à ouvrir. Je considérerai cette question en terminant.

Mais une tâche préalable s’impose : dépouiller la figure de Marie de Magdala des traits caricaturaux qu’en a retenus l’histoire.

UNE FIGURE BLESSÉE

Qui est Marie de Magdala? On sait qu’elle est originaire de Magdala, une localité située sur la rive occidentale du lac de Tibériade, d’où ses surnoms Marie la Magdaléenne ou Marie Madeleine. On trouve 14 occurrences de son nom dans les évangiles. Selon Luc, elle a été guérie par Jésus de sept démons qui l’avaient envahie, avant qu’elle le suive comme disciple, avec les apôtres et d’autres femmes, depuis la Galilée jusqu’à Jérusalem. Les autres évangiles mentionnent sa présence à l’exécution de Jésus et à sa mise au tombeau. Pour l’évangéliste Jean, Marie de Magdala occupe une place unique et privilégiée au jardin du matin pascal.

Que sait-on d’elle par la suite? Aucune mention de la messagère de Pâques dans les Actes des apôtres. Et quelques-unes seulement dans la littérature des premiers siècles. Leur rareté indique clairement qu’elle fut largement ignorée. L’une de ces rares mentions est la désignation l’« Apôtre des apôtres » ; elle lui vient du théologien, exégète et évêque Hippolyte de Rome, au IIIe siècle. Ce n’est qu’au VIIe siècle, avec le pape Grégoire le Grand, qu’on entend parler officiellement d’elle. Ce dernier l’identifie à la pécheresse pardonnée en Luc 7. De là, elle devient aussi Marie de Béthanie, la sœur de Marthe. Une figure composite se répand progressivement : la femme aux sept démons, la prostituée, la Marie de l’onction, la pécheresse pardonnée. Depuis le Moyen Âge, on a oublié définitivement la première porteuse de la nouvelle de la résurrection au profit des représentations de la figure éplorée de la pécheresse, en qui l’œuvre de Dieu n’en paraît que plus manifestement 1 .

Ce sont surtout les femmes, notamment les théologiennes, ainsi que les avancées du féminisme au siècle dernier, qui ont favorisé un retour fécond aux figures féminines bibliques, à celle de Marie de Magdala en particulier. Revenir ici à Marie de Magdala 2 , en Jean, permettra d’appréhender l’avènement de la figure inaugurale de l’annonce du Ressuscité.

UNE FIGURE INAUGURALE OU L’AVÈNEMENT DE LA PORTEUSE DE L’HEUREUSE ANNONCE

Le récit, en Jean 20, 1-18, s’ouvre sur une parole de désarroi que Marie court dire aux deux disciples, Pierre et Jean : « On a enlevé le Seigneur du tombeau, et nous ne savons pas où on l’a mis » (v. 13). Le lecteur  ou la lectrice est, immédiatement, au rendez-vous. Il ou elle est prête à suivre le trajet de la parole, qui va de ces disciples aux deux anges et finalement vers Jésus, que Marie, d’abord, ne reconnaît pas, le prenant pour le jardinier de l’endroit : tout un parcours de la parole au sujet d’un corps mort et disparu. Jusqu’à ce qu’une parole imprévisible, inattendue, se fasse entendre, disant son nom, « Marie ! », et que Marie reconnaisse cette voix comme celle du Seigneur. Alors, un retournement se produit : Jésus est vivant ! Elle le voit, là, sur le lieu du tombeau ouvert, non-visible, mais non pas invisible, le même et pourtant différent, déjà en route vers un ailleurs.

Marie, comme figure inaugurale, prend sa pleine hauteur dans la finale du récit. Elle se voit « ordonnée » par Jésus lui-même à annoncer aux frères sa rencontre du Vivant. Et donc, à sa demande même, Marie mène plus avant la parole : « J’ai vu le Seigneur et voilà ce qu’il m’a dit » (v. 18). Comment Marie est-elle advenue la messagère du Vivant? Comment le texte met-il en récit les conditions de l’annonce du Ressuscité?

Une fois sur le chemin de la mission, Marie raconte aux disciples ce qu’elle a vécu au matin de Pâques. Il lui faut plonger en elle, au lieu de sa profonde vulnérabilité ébranlée par la disparition du corps de Jésus, là où la voix du Vivant a résonné, dans le retournement intérieur qui a ouvert ses yeux à voir, ses oreilles à entendre, ses mains à vouloir retenir son maître. L’annonce qu’elle fait de la résurrection témoigne du bouleversement produit, en sa chair, par la rencontre du Christ. Voilà comment advient la porteuse de la bonne nouvelle de la résurrection. Voilà la figure de Marie que le récit donne à voir et à entendre au matin de Pâques, mettant ainsi en lumière les conditions de l’annonce de l’Évangile : l’annonce est précédée du témoignage qui, lui, est précédé de la reconnaissance de la parole qui a bouleversé la chair. Cependant, le récit le signale : le Christ vivant est l’acteur principal, la source de la mise en œuvre de l’annonce. En effet, Jésus ressuscité lui-même confie à Marie la mission de l’annonce. Et Jésus ressuscité lui indique également la visée de l’annonce : le « va » vers les frères est en fonction d’un « dire » qui consiste en une révélation privilégiée de l’identité de Jésus dont Marie est la première destinataire : « Je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu » (v. 17). Cette révélation que Marie, à son tour, confie aux disciples, les instaure en quelque sorte dans leur relation filiale à Dieu Père et dans leur fraternité en Jésus, leur donnant cette double relation à actualiser. L’annonce du Ressuscité entretiendra, dans leurs cœurs, la mémoire active du toujours Vivant. L’annonce les incitera à en parler, à leur tour, encore et encore, construisant de la sorte des relations que la circulation de la parole gardera ouvertes à un « nous » fraternel à construire activement.

Les Évangiles font écho aux témoignages des disciples et ils sont à écouter et à interpréter aujourd’hui. N’est-ce pas, en effet, la signification qu’évoque l’épisode (v. 3-10) enchâssé dans le récit johannique de Marie au tombeau ? Sur l’incitation de Marie, les deux disciples courent au tombeau ouvert ; mais, selon le récit, la résurrection ne s’impose pas à eux immédiatement « car ils n’avaient pas encore compris l’Écriture selon laquelle il devait ressusciter d’entre les morts » (v. 9). Ce verset du récit s’adresse au lecteurs et lectrices. Ils et elles saisissent ainsi que le sens de la vie, de la mort et de la résurrection de Jésus ne s’impose pas immédiatement à eux, pas plus qu’aux disciples. Par la médiation des textes bibliques, l’histoire du Christ retentit aujourd’hui dans l’histoire singulière des lecteurs et lectrices. Une parole vivante les rejoint dans leur intériorité la plus profonde jusqu’à les faire « se retourner ». En effet, le temps de la lecture, le temps de l’écoute, leur permettent de recevoir une parole inédite qui les interpelle et leur indique le chemin à prendre vers leurs frères et sœurs.

UNE FIGURE « MÉMORIELLE » OU L’AVÈNEMENT ENCORE ACTUEL DE PORTEURS ET DE PORTEUSES DE L’HEUREUSE ANNONCE

L’annonce du Ressuscité vit d’une origine première qui nous précède. À toutes les époques, de génération en génération, on en a fait mémoire : au-delà des contextes, la continuité – ce qu’on appelle la tradition vivante – a consisté pour les croyantes et les croyants à s’inscrire à nouveau dans la convocation à redire la bonne nouvelle avec pertinence. Le défi est important dans la culture actuelle d’indifférence religieuse et de résistances sociales à l’endroit du message chrétien. Mais des traces significatives de la mémoire de la foi initiale sont repérables ici et là. En effet, certaines initiatives innovatrices déjà fécondes sont prises par des chrétiennes et des chrétiens désireux de donner voix – et voie – à leur foi dans le Vivant. Elles reflètent les caractéristiques culturelles de notre époque. Elles accordent notamment beaucoup de place à l’expérience personnelle, au témoignage, à l’échange, à l’accompagnement et à la mutualité. Les manières de faire font écho aux conditions de l’annonce mises en récit en Jean 20, 1-18.

Des groupes de partage évangélique

Des expériences de lecture des évangiles en petits groupes – de femmes surtout, mais pas exclusivement – sont de plus en plus nombreuses et se vivent, ici et là, souvent en-dehors des lieux traditionnellement réservés aux pratiques religieuses ; et il n’est pas rare qu’elles intéressent aussi des personnes ayant pris des distances de la pratique cultuelle. Les récits de rencontres entre le Nazaréen et d’autres qui surgissent sur sa route, de façon impromptue, renvoient les lecteurs et lectrices à des situations analogues de leur existence, à propos desquelles se réalise un échange. Il y a une affinité entre la forme narrative du récit biblique et le récit que les membres du groupe se font les uns les autres de leur propre saisissement par le texte. Car c’est la vie qui est mise en scène dans le texte, la vie avec ses drames, ses relations difficiles et ses blocages. Les textes s’animent dès que l’attention et le cœur s’en mêlent. Ils parlent alors au quotidien des lecteurs et lectrices. Ils soulèvent en eux un désir auquel en même temps ils répondent. Car la manière de Jésus, telle que racontée, atteint un point intime où, sans le savoir, quelqu’un, quelqu’une attendait que soient brisées les chaînes qui emprisonnaient son désir. Un retournement se produit ainsi qu’une ouverture à créer du neuf dans sa vie. Les membres du groupe sont en train d’expérimenter et de se dire Jésus vivant, personnellement et ensemble. Et un bon nombre se retrouveront engagés sur les chemins d’une société à rendre plus humaine.

Des individus et des groupes à la rencontre des frères et sœurs

Des forces vitales sont à l’œuvre. Ce sont souvent des personnes dont le cœur, la tête et la chair ont été traversés par une bonne nouvelle qui les a mises en marche et les tient en haleine. Ces croyants et croyantes de l’ordinaire osent dire leurs raisons de vivre et d’espérer malgré les obstacles de la vie. Ces personnes sont porteuses d’innombrables solidarités concrètes auprès de leurs contemporains. On les voit là où il y a des services à rendre, des souffrances à apaiser, des injustices à réparer, des besoins d’entraide criants, des blessures d’humanité à guérir. Elles s’engagent avec l’aide d’autres personnes, croyantes ou non, avec lesquelles elles évaluent les situations et leur évolution ; ou encore se joignent à d’autres déjà à l’œuvre sur le terrain. Ce sont souvent les mêmes groupes qui organisent, à l’intention de leurs contemporains, des activités de sensibilisation à des problématiques sociales actuelles. Et ces groupes ou de semblables, dans un égal souci de justice, dénoncent publiquement les abus entraînant tant de misères pour tant de gens. Un profil missionnaire de l’annonce du Vivant est en train de s’affirmer bien concrètement. Il stimule le sens de l’humain et d’un monde plus fraternel à bâtir. Il manifeste, quoiqu’encore modestement, une Église moins institutionnelle, au service de l’annonce de la Vie.

Un partenariat en train de naître

Le coude à coude avec ceux et celles, croyants ou non, qui mettent l’humain au premier plan, favorise la réalisation d’un partenariat hommes-femmes et clercs-laïques. Il semble qu’on réalise au cœur de l’action, en quelque sorte naturellement, que la mission d’annoncer l’Évangile, devenue moins crédible sous sa forme hiérarchique, doive se faire, comme aux débuts de l’Église, sous une forme communautaire. Le lien de la charité maintient l’unité de l’Église en union au Christ, comme Jésus en a fait la révélation à Marie. Et le décentrement de soi vers les autres instaure l’égalité plus facilement entre les membres d’un groupe. Le pouvoir partagé devient service. À plus long terme, ce partenariat dans des groupes communautaires, qui se multiplieraient et se consolideraient, conduira peut-être à la reconnaissance de l’égalité des femmes sans restriction aucune. Un partenariat intégral qui n’apparaît pas dans un horizon rapproché.

L’ACCÈS DES FEMMES AUX MINISTÈRES ORDONNÉS ?

La figure de la femme « ordonnée » par Jésus à annoncer la résurrection pose avec pertinence la question, pathétiquement contemporaine, en Occident à tout le moins, du rapport de Marie avec une Église fermée à l’ordination des femmes. Encore dernièrement, dans l’exhortation La joie de l’Évangile, le pape François décrète, comme l’ont fait ses prédécesseurs, que « le sacerdoce réservé aux hommes… est une question qui ne se discute pas » (104). Il existerait donc un fossé radical entre, d’une part les revendications des femmes et, d’autre part, les positions fermes et définitives du magistère, quant à l’accession des femmes aux ministères dans l’Église catholique. Une situation d’impasse difficile à admettre.

Comment une Église qui se réclame de l’Évangile peut-elle, à la fois, prêcher l’exigence évangélique de l’égale dignité des personnes et conserver en son sein des structures exclusives? Comment peut-elle soutenir encore la masculinité du prêtre pour représenter le Ressuscité? Comment peut-elle maintenir que seuls les clercs peuvent enseigner, gouverner et sanctifier selon l’Évangile?

Ces questions semblent prisonnières d’un tombeau fermé à jamais. Ici encore, la foi pascale invite à croire que des voies nouvelles peuvent sortir de cette situation bloquée. Certains signes des temps recèlent des raisons d’espérer : un partenariat, concrètement vécu sur le terrain de la mission, est l’un de ces signes évoqués plus haut. D’autres pointent en la personne même de François, épris de justice, en dépit de sa position sur la question affirmée dans l’exhortation apostolique.

Le pape François continue de susciter une admiration et une affection largement répandues. Ses comportements quotidiens, son style de communication, ses audaces réformatrices et ses relations de proximité avec les laissés pour compte sont en train de changer une certaine manière d’être de l’Église et de faire l’Église. Ces mêmes attitudes pastorales imprègnent le ton de La joie de l’Évangile. François entend y « indiquer certaines voies pour la marche de l’Église dans les prochaines années » (1). Quelques-unes annoncent peut-être un meilleur avenir pour les femmes en Église : une intention explicite « d’élargir les espaces pour une présence plus incisive des femmes dans l’Église » (103) ; une intention de décentralisation (16) ; une intention de dialogue (74).

Des avancées souhaitées et souhaitables!…Verrons-nous l’avènement de telles nominations de femmes dans des postes-clés, dans des lieux décisionnels? Les Églises locales, en particulier d’ici, auxquelles François veut confier certaines problématiques, tiendront-elles compte, dans leurs discours et dans leurs décisions, des sensibilités culturelles, notamment la culture de l’égalité et du partenariat qui est une des caractéristiques des sociétés occidentales modernes? François poussera-t-il sa volonté de dialogue jusqu’à susciter des temps de rencontre et d’échange avec les femmes, en particulier sur les mutations en cours dans leurs relations avec les hommes? Suscitera-t-il des échanges sur un aspect tellement familier à de nombreux théologiens et théologiennes, à savoir l’éclairage et l’appui du Nouveau Testament au regard de l’accès aux ministères ordonnés, le diaconat, dans un premier temps?

Des vœux pieux? L’exhortation laisse aussi entrevoir que François se situe volontiers, ainsi que l’Église qu’il veut davantage missionnaire, dans un « processus résolu de discernement, de purification et de réforme » (30). Il s’agit, selon lui, d’entrer dans un processus de discernement évangélique dans l’Esprit (50), de s’occuper d’initier des processus plutôt que de posséder des espaces (223), de donner « la priorité au temps » (223). Espérons que les espoirs tenaces des femmes trouvent un nouveau souffle dans des processus à mener conjointement, dans les années qui viennent, vers l’avènement d’une Église plus inclusive, plus pertinente, plus attrayante et toujours plus évangélique.

POUR NE PAS CONCLURE…

La figure de Marie de Magdala a été envisagée sous l’angle d’une instauratrice. Elle met en marche, elle réveille le goût de ne pas en rester là, elle appelle le courage de répondre aux désirs et aux attentes de relations véritables qui s’expriment de mille et une manières autour de nous. Elle est une parole qui ne vit que de la réponse que nous lui offrons. Sans nous, ne risque-t-elle pas de tomber dans l’oubli?

NOTES

1- J’emprunte ces renseignements historiques à Élisabeth Dufourq, L’histoire des chrétiennes, l’autre moitié de l’Évangile, Bayard, 2008.

2- Pour simplifier, je la nommerai « Marie » dans le reste du texte.

Cet article de Charlotte Plante, paru initialement dans les Cahiers de spiritualité ignatienne, no 143 (mai-août 2015, p. 73-81) s’insérait dans un numéro dédié à « La réforme au féminin ». La parution d’un numéro consacré à quelques grands réformateurs du christianisme, « De François à François » (no 140, mai-août 2014), a mis en en évidence que les figures de réforme sont encore d’emblée associées à des acteurs masculins. Il y a eu de grandes réformatrices en christianisme, mais l’histoire ne leur a pas consenti la renommée de leurs pendants masculins. On peut même dire que l’histoire a rarement identifié plusieurs de nos grandes spirituelles comme « réformatrices ». Chacun des portraits présentés dans ce numéro permet de se demander : Y a-t-il une spécificité de la réforme à la manière féminine?

Danielle Thibault, directrice intérimaire
Cahiers de spiritualité ignatienne
Centre de spiritualité Manrèse
Québec (Québec)
dthibault@centremanrese.org
www.centremanrese.org/csi

Les derniers articles par Charlotte Plante (tout voir)

A propos Charlotte Plante

Auteure de "Des confidences à haute voix : les femmes dans la vie de Jésus » (2012), Charlotte Plante détient un diplôme en enseignement, une maîtrise en théologie et un diplôme de l’École d’administration publique. Elle a été directrice d’école, directrice de l’Office d’éducation de la foi au diocèse de Québec, membre du Conseil supérieur de l’éducation, présidente du comité catholique et membre du Conseil d’orientation et d’évaluation du Grand Séminaire de Québec.
Ce contenu a été publié dans La Bible et les femmes. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.