Virage 2000 – Échanges sur la proposition d’une journée de retrait des activités des femmes en Église

COMMENTAIRES SUITE AUX ATELIERS

Un groupe de travail ayant proposé un aboutissement à ce plan de travail de trois ans, il a semblé important de débattre cette proposition pour vérifier s’il y avait un consensus et garder une cohérence au plan d’action. Il s’agissait d’un principe d’action d’éclat d’ensemble assez confrontante : une journée de retrait des activités des femmes en Église.

Commentaires de la salle :

o    Beaucoup de préparation sera nécessaire pour poser un tel geste prophétique. Notre travail n’est-il pas d’abord au niveau de l’évangélisation?

o    Il est nécessaire de cibler une situation problématique et de se solidariser autour de cette situation et ainsi éviter l’éparpillement.

o    Il faudra y aller pas par pas. L’objectif est énorme, notre perspective doit être clairement exprimée sans ambiguïté et nous devrons analyser l’impact de nos gestes.

o    Je vis un malaise, il faudrait sortir de l’impasse en faisant autrement, avoir un agir autre que dans la société. Il ne faut pas quémander mais agir en tant que membre du peuple de Dieu et sortir de l’aspect hiérarchique.

o    Quand on parle de faire connaître les situations de violence, on parle dans le sens de la violence structurelle, la violence qui fait qu’à cause de la structure de l’Église, des femmes sont exclues de certaines fonctions ecclésiales. Alors dans la phase du choix des problématiques à travailler, une référence doit être la place qui est faite aux femmes dans l’Église.

o    Il faudra aussi penser aux femmes bénévoles dans l’Église. Elles sont aussi impliquées. Et si vous parlez de grève, est-ce une grève pour quelque chose ou une action contre les prêtres ou les évêques par exemple. Sur quoi pourra-t-on les mobiliser? Il va falloir être très claires.

o    L’atelier a parlé d’une journée de retrait pour montrer l’importance des femmes en Église; ce que leur absence peut causer. L’atelier n’a jamais parlé de mettre sur pied un syndicat de travailleuses rémunérées par exemple.

o    Ma remarque porte sur la notion du temps ou du moment qui sera pertinent pour produire une action du genre de celle qui est proposée. Il y a deux manières de mesurer le temps quand on établit des stratégies. La première, c’est de prendre toutes les mesures possibles pour que l’événement se produise à un temps raisonnablement juste. Mais il faut dire aussi qu’il faut avoir un certain flair, ce que j’appelle le flair, c’est le moment opportun; mais au sens évangélique je vais l’appeler le flair du signe des temps. Je vous dis ceci parce qu’en 84, le comité des femmes sur la question des femmes dans l’Église et dans la société a présenté une trousse de travail aux évêques. C’était en 84. Instinctivement, je me suis dit, il est trop tard. Et de fait il était trop tard parce qu’en 83 on avait promulgué le nouveau code de droit canonique qui donnait comme réglementation de cesser toutes expérimentations dans les diocèses et dans l’Église. Selon mon avis, entre 84 et aujourd’hui, il y a moins de choses qui se sont produites en ce qui concerne la promotion des femmes qu’il y en avait eu entre 75 et 84. Donc il y a un sens des temps, les signes des temps des évangiles, j’aimerais qu’on en tienne compte dans notre préparation à cette intervention. Parfois, c’est l’urgence qui commande parce que si on n’a pas vu l’urgence, on passe tout à fait à côté et c’est raté comme pour d’autres raisons.

o    J’ai 44 ans, je travaille dans l’Église – rémunérée et non rémunérée – depuis l’âge de 14 ans. Mon premier emploi a été un poste en Église. À l’âge de 23 ans, j’ai travaillé avec 6 autres jeunes femmes de moins de 30 ans à l’organisation d’un colloque du CEP (Chrétiens pour une Église populaire) sur la place de la femme en Église. Et de ces six femmes, je suis la seule à être ici aujourd’hui. Je peux vous dire que ces femmes-là ne travaillent plus en Église parce qu’elles n’en peuvent plus. Je suis professeure d’université et dans mes cours il y a de moins en moins de jeunes femmes.

o    Pour des raisons spirituelles et personnelles, je suis une bénévole reconnue dans l’Église. Et je suis une de ces femmes impatientes. Mon Église est en train de mourir beaucoup à cause de ce qu’on fait aux femmes; je n’aurai pas d’Évangile à léguer ni à ma fille, ni à Isabelle, ni à Sophie, si nous, les femmes adultes, nous ne prenons pas nos responsabilités en main.

o    Nous venons de dire que l’impact de notre action c’est pour qu’on voit l’importance de la place des femmes en Église, mais il me semble que nos discussions disaient plutôt que ce que les femmes veulent vivre en Église soit rendu visible. Alors il me semble qu’une journée de retrait pourrait être vécue à l’intérieur, qu’on fasse quelque chose de symbolique, une célébration chrétienne féministe par exemple; ne pas faire une journée pour celles qui sont parties. L’objectif qu’on poursuit c’est de montrer ce qu’on veut vivre en Église en tant que femmes, comment on veut vivre l’Église Peuple de Dieu, l’Église communion et que cela soit rendu visible?

o    La grève, le retrait, la retraite, je trouve que c’est faire comme les autres. Je pense qu’il faut faire autrement. Et si chacune d’entre nous posait personnellement un geste autrement, il me semble que ça aurait beaucoup plus d’impact.

o    Il ne faut pas oublier que nous sommes toujours sur l’action visée, sur l’action à réaliser à la fin du processus. La phase qui va suivre immédiatement le Colloque devrait nous y préparer. C’est dans cette phase qu’il nous faudra choisir, à travers la nomenclature des propositions, nos revendications prioritaires. Cette phase-là est évidemment essentielle et devrait apporter des réponses à nos questions. Que voudra-t-on mettre de l’avant? Quel aspect de la vie des femmes en Église travaillerons-nous? Dans les mois qui viennent, il va falloir prendre le temps d’habiller tout cela.

À la fin du processus, est-ce qu’on peut formuler ainsi : il s’agirait d’une action d’éclat, un geste prophétique autour d’un arrêt de travail qui rende visible l’importance des femmes dans l’Église, rende visible ce que les femmes veulent vivre en Église. À ne pas oublier, évidemment, l’importance d’une cible précise, d’une date stratégique, du respect de l’environnement de travail, la création de mécanismes de partage, le développement d’alliances et vraiment tenir compte de façon sensible de la peur des femmes.

Il me semble qu’il faudrait compléter, si on dit par exemple ce que les femmes veulent vivre dans l’Église, mais tout cela en vue de quoi. Et est-ce qu’on pourrait peut-être ajouter sans que ça sonne trop théologique « mais de manière à ce que l’Église soit fidèle à sa réalité évangélique ou quelque chose comme ça » ?

VOTE

Donc : Une action d’éclat, un geste prophétique autour d’un arrêt de travail qui rende visible l’importance des femmes dans l’Église, rende visible ce que les femmes veulent vivre en Église de manière à ce que l’Église soit fidèle à sa réalité évangélique.

Formulation adoptée à la très grande majorité.

Il faudra cerner les étapes qui nous conduiront à cette phase finale.

Nous entrons dans la phase II qui nous mènera à l’action d’éclat, la constitution de dossiers solides, de réseautage, d’alliances, temps de sensibilisation et le reste.

o    Un petit groupe a travaillé hier soir, et on s’est demandé si nous, comme assemblée, on ne pourrait pas poser un geste qui essaierait de tenir compte des enjeux en présence. Nous savons qu’il y a des initiatives de la droite pour boycotter la Marche des femmes en particulier sur le terrain des groupes chrétiens qui ont donné leur appui à la Marche. On parle du boycott de la campagne de levée de fonds de Développement et Paix. Cela signifie un risque de perdre des millions. On parle aussi de boycott de la Journée mondiale de prière des femmes, journée organisée annuellement par le Conseil œcuménique des femmes du Canada, en anglais WIC, parce qu’elles ont soutenu la Marche. La question qu’on s’est posée, est-ce que ça aurait du sens de signifier notre solidarité avec le CWL Catholic Women’s League qui est l’équivalent du Mouvement des Femmes chrétiennes ici et à Développement et Paix? L’assemblée accepte. Une lettre sera écrite et envoyée à qui de droit.

o    Concernant la journée de retrait, est-ce que je peux dès maintenant apporter des suggestions. Je proposerais que cet arrêt de travail soit un temps de formation, de conscientisation, un temps de sensibilisation comme une journée d’étude pour les femmes en solidarité avec d’autres.

o    Il faudra prendre le temps de se demander c’est quoi une journée de retrait et comment l’organiser. Elle pourrait être suivie d’autres journées de formation. Pour avoir un impact, cette journée de retrait pourrait être vécue le 8 mars ou le 1er mai en alliance avec d’autres. Il faut être conscientes que ce ne sont pas toutes les femmes, et surtout celles en Église qui sont avec nous. Alors je me dis que ça pourrait être une journée d’étude. Il va falloir qu’on soit créative pour créer un impact. Être avec d’autres femmes, aurait du sens à plein. Et si des femmes plus pauvres perdent un revenu, il faudra savoir partager avec elles.

o    J’appuie, bien sûr, que se soit grève, retrait ou retraite; mais c’est très facile pour moi étant donné que je ne suis plus engagée dans l’Église. Pour celles qui sont concernées, ça demande beaucoup plus de courage. Mais mon intervention voudrait porter surtout sur la notion de peur. On a mentionné cela tout à l’heure à quelques reprises. Et c’est sérieux. On agit sur ce sentiment pour contraindre, restreindre, menacer, isoler, exclure. Alors je pense que dans notre démarche il faudra y penser et en tenir compte de façon à ne pas rentrer dans cet étau que nous prépare la droite.

o    Je suis tout à fait d’accord avec l’idée. Au niveau du choix de la journée, il faut se rappeler que les femmes ne travaillent pas toutes au même endroit. Nous sommes dans les hôpitaux, dans les écoles, etc. Alors, c’est sûr qu’un samedi n’aurait aucun d’impact dans mon école. Il faudra y penser. Je tiens à vous dire qu’à mon retour à la maison ce soir, ma fille Sophie serait fière de moi et de nous.

o    L’idée d’une journée d’arrêt m’apparaît comme une bonne idée. Je voudrais aussi porter à votre attention que les lieux sont multiples mais que les employeurs sont aussi multiples. Quand ça prend l’allure d’une grève, d’un retrait de travail, c’est un rapport de force surtout si les conditions de travail sont en jeu. Il faudra tenir compte du conseil de fabrique qui a son mot à dire dans une paroisse bien organisée; il est l’employeur. Dans certains cas, ça peut jouer un rôle très important négativement ou positivement.

o    Lors de certaines assemblées d’Église, je me dis souvent, si les femmes n’étaient pas présentes, qu’arriverait-il? L’Église a besoin de nous. La journée de retrait propose justement de faire un vide pour que ce vide-là fasse réfléchir. Après plusieurs années d’expériences d’Église, je me suis retirée des structures de l’Église. Mon Église, c’est la rue actuellement avec les jeunes de la rue, c’est là que je me sens membre de l’Église et je reconnais que c’est là que je rencontre le vrai visage du Christ.

o    Mon intervention vise surtout à circonscrire quelques idées qui ont été lancées me basant sur l’expérience que j’ai eue dans le syndicalisme pendant plusieurs années. Le but d’une grève, dans ce cas-ci, c’est d’alerter, de conscientiser. Si ça ne pose pas de questions, c’est raté. Si ça ne fait pas mal, c’est raté. Alors consentir à se faire poser moult questions, consentir à faire peur un peu, consentir à faire mal, c’est un peu, avons-nous dit en fin de semaine, « contre » les réflexes naturels d’un grand nombre de femmes. Il faut prendre ça en considération et vaincre d’abord cela. Autrement, ce sera faire une démonstration de faiblesse, ce sera un échec pire que ce que l’on vit. Alors il ne faut pas faire semblant, il faut mesurer ses résistances et ses solidarités : aller chercher ses solidarités et éduquer longuement et patiemment les résistances. Il faut faire une vraie démonstration des problèmes et des difficultés que les femmes rencontrent dans l’Église et pour ça, il faut d’abord une longue préparation et une conviction profonde de chacune des participantes.

o    Vous qui avez de l’expérience, est-ce que cet horizon de trois ans est une perspective qui vous semble réaliste?

o    En tout cas ça me paraît devoir être essayé. Trois ans, ça m’apparaît à première vue être un laps de temps réaliste. Maintenant les résistances seront à mesurer, mais il ne faudra surtout pas aller à l’échec. Je crois que ça va partir de noyaux de personnes convaincues qui vont en convaincre d’autres. Mais il faut que ça fasse tache d’huile absolument.

o    Je me rallie à ce qui se dessine. Il faut créer des alliances à l’intérieur même de l’Église mais aussi à l’extérieur, dans notre société en général. Deux choix se présentent à nous. Ou bien c’est une journée de grève pour les femmes uniquement, les femmes seulement s’absentent de leur travail bénévole ou rémunéré. Ça ne nous empêche pas de faire des alliances et d’avoir du monde solidaire à notre cause, c’est une option. Ou bien on fait en sorte que des hommes aussi, des alliés puissent faire la grève avec nous de façon stratégique. Alors on pourrait aller chercher des prêtres, des agents de pastorale masculins ou même des hommes bénévoles dans les paroisses qui sont solidaires et qui voudront mener ce combat à nos côtés en s’absentant eux aussi de leur travail. Ça pourrait être une autre option. Faudrait-il envisager les deux options? Je ne sais pas. Mais ce qui est clair, c’est que peu importe la stratégie finale, dans un premier temps, la conscientisation devra toucher des hommes ciblés et les sensibiliser à cette cause puisque ça les concerne tout de même grandement. Prêtres, agents de pastorale et bénévoles, donc des hommes qui ont des positions ou des rôles différents dans l’Église par rapport au pouvoir. C’est une première chose que je voudrais proposer en terme d’alliance et en terme d’option. La deuxième chose, il serait peut-être intéressant d’aller voir dans le monde des médias ou dans le monde communautaire s’il n’existe pas des groupes qui pourraient être solidaires de sorte que l’on ait des associés qui ne sont pas proprement dans le système de l’Église.

o    Je suis vraiment d’accord avec tout ce qu’on a exprimé ici. Je suis d’accord avec cette période de préparation très importante, avec les négociations et avec les alliances. Je veux toutefois rappeler une chose, les résistances, les conflits seront toujours présents même si on négocie et même si on fait une excellente préparation. Alors, il faut toujours être prêtes à affronter ces éléments qui feront sans doute partie de notre démarche. On marchera physiquement prochainement pour nos revendications. Mais toute notre vie est une marche. Il faut être capable de faire des pas courageux comme celui de la grève et d’autres pas. Et je veux juste ajouter quelque chose qui est apparu clair dans notre atelier. Nous avons aussi apporté une suggestion comme celle de la grève. Le groupe a fait remarquer qu’après une grève, il y a une post grève, il faut aussi la prévoir, la préparer. Nous devons aussi inventer une manière de faire réfléchir les femmes sur la grève, ainsi que les hommes alliés et d’autres personnes dans les paroisses… Il faut que tous et toutes comprennent le pourquoi de tout cela. Il faut que ce soit perçu comme un geste réfléchi et légitime et non comme une indiscipline. Il faut faire connaître nos motivations. Alors, nous croyons qu’un séminaire et un lieu de discussion post grève sont très importants pour la formation de l’ensemble et pas seulement celle des femmes.

o    Si je continue de travailler en Église après 23 ans malgré la violence structurelle, malgré la situation d’inégalité qui est faite aux femmes, c’est parce que je crois que l’Église est encore le meilleur canal pour proclamer l’Évangile, pour la donner au monde. Alors je serai solidaire, et je trouve que c’est une excellente idée de faire une grève mais pour moi la question du sens est très importante. Si c’est juste pour avoir plus de droits, c’est une cause très légitime, mais pour moi ce qui est encore premier, c’est l’évangélisation, c’est la cause du Royaume et celle de l’Évangile. Alors si un jour je fais la grève, je la ferai pour que mon Église soit plus signe d’Évangile, soit plus signe du Royaume à travers ce geste et non seulement pour une question de bien-être.

o    Je me pose la question, est-ce que cette stratégie sert bien la cause? C’est intéressant, mais même si on s’absente une journée, on sait très bien que le travail s’accumule et qu’on aura de toute façon à le faire le lendemain. J’ai actuellement un bon statut et je n’ai pas fait la grève pour l’obtenir. Je croyais que nous serions plus créatives. Ça me déçoit. En même temps, j’entends les réactions des autres et je suis quand même d’accord avec ce qui a été apporté. Il faut créer des alliances. Il y a un nœud évident avec les marguilliers. La recherche est aussi importante. Hier, j’entendais des personnes parler d’ordination sacerdotale. Pour moi, il faut vraiment peser cette question et parler de presbytérat, de ministère presbytéral. Et il me semble que comme femme, c’est ce que j’ai le goût de faire. J’ai le goût d’aller plus loin, de prendre la parole et de me faire entendre. Est-ce que la grève va faire avancer ma cause?. Est-ce la bonne stratégie qui va nous permettre de faire un pas en Église et surtout qui va nous permettre d’acquérir encore plus de crédibilité?

o    Je ne suis pas engagée directement dans l’Église, je me considère un peu en retrait parce que je m’occupe du mouvement Nouveaux Espaces où nous accueillons des gens qui ont laissé l’institution, le patriarcat et qui ont retrouvé leur foi, la foi de leur enfance et qui veulent d’abord vivre leur foi et ne pas se faire récupérer par l’Église. La grève, je l’aurais vu illimitée. Je sais aussi que les femmes ont peur. Un geste prophétique serait que les femmes se tiennent debout et disent haut et fort ensemble à leur évêque ou à l’Église institution en général et jusqu’à Rome ce qu’elles veulent pour que l’Église soit un modèle d’égalité, de justice et de liberté. Alors pour pouvoir être créative, à mon avis, il faut vraiment être libre dans notre Église, être capable d’agir, être reconnue comme un membre à part entière. Faudra-t-il sortir du temple pour poser un geste prophétique et que l’institution patriarcale comprenne?

o    Je renchéris sur celle qui a dit, on ne peut pas se permettre que ce soit un échec et je me demande si une des façons de réussir ce ne serait pas de mener une lutte sur une cible très précise, là où la mobilisation est possible. Par exemple, devant une situation d’injustice précise, nommer ne serait-ce qu’une petite lutte mais qu’on sente qu’elle est très ciblée, mobilisatrice et qui fait avancer une chose dans un dossier précis. Il me semble qu’il y a une question de cible précise à avoir.

o    Lors de la Marche des femmes des groupes s’arrêteront devant des édifices comme des banques ou des édifices gouvernementaux. Il est question d’arrêt devant quelques églises. On ne peut pas déterminer totalement comment ça va fonctionner mais éventuellement il y aurait une coordination à faire à ce niveau-là. Autre idée, préparer un contingent de la Marche avec gestes et signes distinctifs; un comité y réfléchira et vous fera des propositions. J’en profite pour vous inviter cordialement à une célébration inter spirituelle qui se tiendra à cette occasion.

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