C’est avec un peu d’espoir et une certaine appréhension que j’ai accepté, en avril 1971, de participer, avec quelques autres invitées, à une consultation sur la situation des femmes dans l’Église. La rencontre se tenait à Ottawa dans le cadre de la Conférence des évêques catholiques du Canada [CECC]. J’avais été interpelée, dans les années 1950, par cette problématique alors que j’œuvrais comme permanente à la Jeunesse indépendante catholique féminine. J’avais pu observer, dès ce moment, certaines formes de discrimination à l’égard des femmes engagées en Église. Lire la suite